Michale Boganim décrit dans "Mizrahim, les oubliés de la terre promise," une société israélienne à deux vitesses, entre d’un côté les juifs ashkénazes venus d’Europe qui se considèrent comme une élite, et de l’autre les Mizrahim, les juifs venus d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, traités dès leur arrivée en Israël comme des citoyens de seconde zone.